Tuesday, November 27, 2012

Des limites contre les limites

Robbe-Grillet se position contre les écrivains et les théoreticiens qui propose des règles pour la litterature, un but spécifique et des méthodes analytique qui servent à le juger. Mais en faisant son argument, il propose aussi "un système," (25) il est aussi "academique" en identifiant le but de la litterature en "la pleine conscience des problèmes actuels de son propre langage, la conviction de leur extrême importance, la volonté de les résoudre de l'intétieur;" (39) ici le lieu de la litterature, là celui de la sociologie. Il ignore la rôle potentielle réflèchi de la litterature, d'éxaminer d'un mani`re peut-être "metatextuel" les problèmes des personnages, de l'intrigue, de l'engagement, etc. Je vois un lien entre Robbe-Grillet et les jolies oeuvres de l'Oulipo, qui établit des règles pour l'écriture pour éxaminer le formalisme et la "potentielle" de la litterature, peut-être leurs livres sont plus des "nouveux romans" que ceux de Robbe-Grillet soi-même.

Thursday, November 15, 2012

La peur et la solitude

Le narrateur de "Le Horla" décrit le début de son peur et sa folie comme les confusions d'un esprit seul qui ne peut plus comprendre l'opérations du monde externe: "Je ne comprends pas parce que la cause m'échappe" (7). Pour moi, c'est la casse de l'illusion des "racines" (1) qui négocient entre le sujet et le monde--les racines d'une histoire rationelle. Le fait que la litterature (2) et les légendes (4) sont des centres de la peur est énormement signifiant : ces narratives ne sont pas vérifiable, la cause les échappe, et le narrateur ne peut plus ignorer le fait que ses racines, que les choses le plus simple, ne sont pas toujours explicable--ceci, plus que les contenus des évènements, rend le narrateur craintif.

Tuesday, November 13, 2012

La race et les positions du lecteur et des personnages

La race d'Ourika n'existe pas avant d'être assigné par les blancs (le medècin ou la marquise), et sa imposition n'est pas un fait neutre mais l'effet des systèmes de pouvoir. L'idée qu'on construit la race socialement et ne pas le decouvrir est absolument révolutionaire maintenant, encore moins le XIXième siècle. Mais il y en a quelques petits faits qui rend cette théorie plus complexe.

Premièrement, sans avoir entendu le mot "négresse," Ourika comprend les implications d'être designé comme ça : "je vis tout, je me vis négresse, dépendante, méprisée, sans fortune, sans appui, sans un être de mon espèce à qui unir mon sort ... bientôt rejetée d'un monde où je n'étais pas faite pour être admise" (9). Alors Ourike comprend le champ des associations autour du concept de la race avant de comprendre qu'elle est négresse. Alors la comprehension de la "noiresse" doit être constitué d'une position blanche.

Aussi le "frame tale" du medècin mine l'afféterie la plus importante du roman : la révélation qu'Ourika est noire n'est pas un surpris pour le lecteur, mais cette espèce d'ironie rend tragique l'histoire. La négotiation entre le fin que nous savons (la tragedie, car elle est noire) et la vision alternative présentée au début du narration d'Ourika est un travail difficile qui modele notre conception de la race dans l'éxperience de lire.

Thursday, November 8, 2012

La liberté et la mort

"Je suis libre : il ne me reste plus aucune raison de vivre ... Seul et libre. Mais cette liberté ressemble un peu à la mort." (221)

Nous sommes tout pres de la vision de la liberté selon Sartre, une vision qui vient (comme avec Balzac) quand le narrateur prend un position panoramique. Il me semble que cette liberté ne pas seulement "ressemble" à la mort, mais le incorpore dans la vie--le solitude est la condition necessaire de la liberté, et le panorama  en même temps établi un hierarchie entre le sujet et le monde et efface le sujet qui est contre le monde mais qui n'a aucune relation concrete avec le monde. Maintenant on peut dire--à nous deux !

Tuesday, November 6, 2012

L'humanisme et l'abstraction

Il me semble que l'humanisme de l'Autodidacte soit problématique à cause de son prédilection pour l'abstraction. L'humanisme est, au fond, le foi d'un humain abstrait et transcendent qui se détache de ses circonstances matériels--compris, pour Sartre, la mort et la mortalité. Même le rapport entre l'humaniste et les autres gens est un abstraction, l'Autodidacte "les vois, si j'osais je leur sourirais, je pense que je suis socialiste" (167). C'est l'idée du socialisme, détaché des actions du socialiste, qui le fait "ne plus seul." Selon Sartre, ce serait en mauvaise foi.

Thursday, November 1, 2012

Dialogue avec Descartes

"Ma pensée, c'est moi : voilà pourquoi je ne peux pas m'arrêter. J'existe parce que je pense... et je ne peux pas m'empêcher de penser. En ce moment même - c'est affreux si j'existe, c'est parce que j'ai horreur d'exister." (145)

On voit ici la cartesianisme restant de l'existentialisme. Peut-être on pourrait dire que la source de la nausée est la tendance de Roquentin de ne pas experiencer, de ne pas vivre dans son corps d'un manière qui pourrait réconcilier le peur de "se salir." Mais cette solution proposée présuppose la division entre pensée et experience détruit par Merleau-Ponty dans le passage que nous avons lu. Enfin, l'"horreur d'exister" est valorisé d'un manière bizarre--il est dégoutant, mais il confirme que le sujet est indépendante et éxistant dans un monde hostile et contingent.

Tuesday, October 30, 2012

L'art et l'harmonie

Une source de la Nausée est le fait que les choses et les temps ne sont pas harmonieuses, ils ne vont pas avec les autres, ils se débordent. La musique et le roman sont des alternatives--dans le chanson aimé par Rollebon et dans le journal qu'il écrit, chaque son ou chaque événement est dans son place, avec réference aux autres, dans un progression qui les donnent de signifiance. Il me semble que si on peut vaincre la nausée, l'harmonie de l'art serait nécessaire.